lundi, janvier 15, 2007

Je vis dans la maison de la honte où l'absence d'unité reigne et où blâmer l'autre est notre seule occupation. J'ai l'impression d'avoir reçu la pire éducation qu'il soit et que mes parents devraient être tenues responsable de ce qui est advenu de moi devant le tribunal du P.A.F(parents à foueter). C'est à dire que je suis paresseuse, haineuse, trop sensible, menteuse, toujours en train de me condredire... Mais mme Caron a fait une remarque intéressante en classe aujourd'hui, c'est qu'il y a des germes de ce qu'on adviendra avant même la naissance. Sartre a été façonné par les attentes des autres("l'essence avant l'existence"), j'étais donc prédestinées à devenir la honte ou la "sharmoutah" de la famille? Mes articles sont pas fameux, je l'avoue, j'espère ne pas être une de ces personnes trop sensibles dont l'écrit est affecté lorsque le coeur ne suit pas. Je fais l'ultime promesse sur ce blog et devant boudha, que mes enfants n'entendront jamais l'éclat de ma voix, je n'insulterai JAMAIS mes enfants car il me semble que pour qu'un parent inspire le respect, il faut d'abord en donner. Je n'utliserais jamais mes enfants comme mon soufre-douleur ou comme l'urinoir de mes maux de têtes et je n'entraverais jamais la route de mes enfants vers la chose qui les font vivre. Subtil mon affaire, hein. Tant de promesses qu'il me faut absolument tenir pour ne pas reproduire "l'éducation" qu'ont m'a durement imposée. Alors je promet de tenir mes promesses.

dimanche, janvier 14, 2007

Nono+Lily+Folie Nono voulait absolument créer un skyblog parodiant les autres skyblogs qui apparaissent souvent comme débile et qui traitent strictement de "ma" petite personne de profil gauche et de "ma" petite personne de profil droit et de "ma" petite personne avec mon chien philou( cessez d'utliser l'image des animaux comme prétexte pour vous pavaner). D'ailleurs, noémie vient tout juste de s'en créer un, mais aucune photos n'y figurent, allez voir pour le moment il n'y a qu'un article: www.arrg.skyblog.com Pour ouvrir ce skyblog en beauté, nous avons fait un aprés-midi "séance photo" complétement absurde où des objets ridicule trainaient partout comme ma robe fushia éclatante (que jamais personne n'aura l'occasion de voir, sauf en photo) et un manteau en vraie fausse fourrure. Ces photos sont vraiment terrible je vous préviens. 13 ans et plus, c'est évident. Voici quelques clichés pour vous donner un avant gôut (amer surement) de son futur "fo skyblog".
Nous sommes infestés! Ce matin vers 11h00 donc pas plus tard que tout à l'heure, mon frère a retrouvé derrière son sac à dos, une AUTRE petite souris morte. Et dire que j'ai dormi à côté d'un cadavre tout à l'heure. Qu'est ce qu'elle était grasse et visqueuse. Bref la mort de la seconde petite souris est venu ajouter un peu de piquant à la publication de mon article sur la première mort. Je vais arrétêr de me réjouir de la mort d'une pauvre petite créature, mais quand même vous vous rendez compte de l'ironie des choses?? Une vrai plaie s'est abattu sur la communauté des rongeurs du 4814 rue Dornal: mes dons de voyances vont toutes vous exterminés. Non mais sérieusement j'arrive pas à y croire, ça vient de se passer! Vous êtes chanceux que j'ai pu prendre une photo de la souris et de son bourreau. Mon frère insiste maintenant pour qu'on l'appelle: THE MOUSE SLAYER. humm réjouissant comme surnom.

vendredi, janvier 12, 2007

Sur demande de NONO, l'histoire de la petite souris.
Cet été, nous furent hanter par la présence presque fantomatique de la petite souris. On pouvait entendre les petits claquements de sa machoire la nuit. Elle rongeait les murs, le bois et même les fils électriques. Un jour on la découvrit dans le meuble du salon et on l'enferma mais la petite souris, tellement fine, réussi à escalader les armatures du meuble et s'enfuya. Le grand jour arriva où père et fils, comme tout homme, s'unissent pour veiller au bien de leurs habitats. Comme tous bon chasseur, ceux-ci devaient s'équipper. Ils sortirent et revinrent armé avec de petits pièges. Ils débattérent longuement sur les emplacements stratégiques de leurs leurres. Les appâts placés, et mon unité masculine rassuré, tous se couchèrent. Le lendemain dans la cuisine je trouvais à quelques centimètres de mon pied la petite souris prise au piège par le levier, étouffée par son morceau de fromage. La gourmandise aurait mené à sa fin. Je vous épargne les détails morbides, mais je dois vous confier que mon père venta anplement les emplacements choisis. Rappelons qu'ils servirent de tombeau à la petite créature. Repose en paix, petite souris. À qui voudrait poser des fleurs sur sa pierre, vienne dans mon jardin aux heures d'ouverture.

vendredi, janvier 05, 2007

La cécité ne rime pas avec aveugle
-Pimbèche, Blanche-Scéne 3
Pimbèche: Blanche comment te dire... Ma tendre amie, ma confidante qui parle je ne sais quelle langue, ah l'urinoir de tous mes péchés! Écoute-moi et ne me renie pas. J'ai failli céder à la plus vile des profanations. J'ai failli me livrer toute entière...comme on livre son mouton à l'abattoir.
Blanche: DAH!
Pimbèche: Oui je sais c'est atroce, je n'aurais jamais du. Mais avant d'avoir pu, j'ai découvert quelquechose qui fera mon malheur à jamais. Enfin passons sur ce détail. Mais je dois avouer devant toi et devant l''inpénétrable voix céleste que les avances qui m'ont été faites ne m'ont pas toujours déplu. AH je sens que je vais sombrer dans des ténébres ou même les pires dictateurs ne reposent pas. HEIL! Que faire avec un amant qui ne pourra jamais satisfaire mes besoins mais que j'aime tendrement?
Blanche: DAH? maa kass ke tou raconté, tu lames?
Pimbeche: oui, bien sur que je l'aime.
Blanche: dash kou bri ta kos! Eh bien! kattenn tou, prend toi de lui, et faites ce que même les animaux non jamais pensé faire! Pourkwa as tu ne pas voulu livrer ton mouton a labattoir?
Pimbeche: Eh bien j'ai ommis de ta dira KAKCHOSE. Oh pardonne mon instabilité, c'est que je suis nerveuse, et des fois on est tenté de reproduire ce que l'oreille décode mal.
Blanche: Ja suis touté oreille!
Pimbeche: Eh bien promet moi de ne jamais répéter ce que je m'apprètes à te réveler, tendre amie. Voilà mon coeur est à un homme qui ne saura combler ma forêt enchanté. Tu vois??
Blanche: Dah?
Pimbeche: oh bon, euh je ne pourrais pas vraiment me livrer parce que...castré a naturellement, ce qu'on a enlevé a un eunuque. Tu vois?
Blanche: Dah? Quelle nuque??
Pimbeche: Nom de dieu Blanche, CASTRÉ EST CASTRÉ. (Elle se met à pleurer)
Blanche: Tou ba aller bien, laisse moi te chanter une berceuse de mon pays: Schlikebi schlikebi schlikebi schlaven, dash kou mi tabi naven! EH mish ta bri kubrick y schalkobin ta mi naven...

mercredi, janvier 03, 2007

(Partie 2) J'accoure bébé, j'accoure et je la borde et je lui fais boire son lait tout
en repassant tous mes cours de sauvetage dans ma tête (au cas où) mais les pleurs ne veulent pas cesser, alors j'appelle les parents et mme Caron, "déchirée par les pleurs de sa fille" revient halletante. Le lien qui unit une mère et son enfant est plus fort que tout puisque dés l'arrivée de maman Caron la petite s'est tout de suite calmée. Quelques minutes plus tard, on se rend compte que la petite, toute tremblottante et contracté qu'elle était, avait malencontreusement bu le lait de sa soeur, un lait trop riche et qu'elle digerait mal. Et devinez à cause de qui? Eh oui ce malencontreux geste venait de moi, et peut être aussi de mon mauvais Karma, petit bébé j'espère seulement que des vomissements incessants n'ont pas suivi aprés mon départ! Bref la petite a fini par se rendormir, et aprés une partie de lapin crétin sur la wii, mme caron repart rassurée à sa soirée avant le décomte. La bonne année passe, je vais vérifier leur respiration, tout va bien. Bref le reste de la soirée se passa assez bien, j'ai pu jouer a la wii mais toujours un peu inquiète qu'une des filles se réveillent, je regardais d'un air nevrosé le machin qui retransmet tout les sons de leurs chambres. J'ai même cru qu'il y avait un intru dans la maison à un certain moment mais c'était les petits pas de Iris, l'ainée, qui se réveilla pleurant sa maman. Alors je la borde, je la console et lui ramène un receuil de conte que j'avais ramassé chez moi. J'ouvre le livre et en première page se trouvait "la belle histoire de blanche neige" Quelle chance! Je me rappelais alors que la petite adore ce conte. Mais en lui lisant l'histoire je me suis rendu comte que ca n'était pas vraiment une histoire pour enfant mais bien un conte à l'envers. On retrouvait des mots dangereux pour l'oreille d'une petite fille. Des mots comme "sexe" et "exterminer". Me pardonnerez-vous un jour mme caron. L'histoire elle même était tellement ennuyante pour un enfant que la pitite s'endormit aussitôt! Efficace ces bouquins.
La soirée se passa très calmement et je repartais attristée d'avoir presque empoisonné une des filles de mme Caron et de ne pas avoir pu trouver un moyen de récupérer le tire boulette en trouvant la canne à pêche pour donner un poisson au chat pour ensuite remmettre l'animal au vendeur de brocante afin qu'il soit recomforté et qu'il me donne ma première arme. Zelda, ça n'est pas du tout facile.

lundi, janvier 01, 2007

Babysitting catastrophique chez Mme Caron (Partie 1)
J'ai un mauvais karma, c'est sur! Pas un mauvais, mais un karma qui provoque cette suite si connue d'événements malchanceux. Ça existe çà? Bref tout le monde meure d'envie de savoir qu'est ce qui a pu arriver chez la mystérieuse mademoiselle C. Alors comme un appel reçu de Dieu, mme Caron m'a offert l'opportunité de ne pas rester à glander chez moi, en m'endormant devant la télé avant le décomte, ou de ne pas avoir à suivre en douce ma soeur et lui faire du chantage par la suite. L'offre était bien sur de garder ses deux filles angéliques. Dans le métro j'avais l'impression d'être plus fière de ma destination que quiconque dans le wagon. Alors la soirée s'annonce bien dés mon arrivée: les filles sont couchées, pas besoin de s'inquiéter, elles sont épuisées, impossible qu'elles ne se réveillent, ça sera une soirée facile blablabla. Alors vite on m'explique le fonctionnement de la télé, et de la wii, et on me montre ou sont les biberons, lequel va à qui. Hop déja parti, je me promène, je regarde l'heure, je vais voir les filles, je regardes quelques livres et finalement, le moment tant envié, tant attendu, je m'installe devant la wii. Mais soudainnement j'entend petit bébé daphné qui explose en pleur avant même que j'ai pu comprendre comment fonctionne la console...