lundi, mai 28, 2007

Suite
Beaucoup de choses ont changés depuis avril. Et j'ai regretté d'avoir perdu la bonne habitude d'écrire, j'ai arrété de m'inspirer d'expériences réelles réjouissantes ou pas mais toujours enrichissantes. En relisant mes vieux messages j'ai remarqué deux choses: l'une c'est que la qualité de mes écrits n'a cessé de s'améliorer jusqu'au jour où j'ai cessé d'écrire(là j'ai régréssé) et la deuxième c'est que je portais beaucoup plus de réfléxions sur mon alentour que je ne le fais aujourd'hui. En somme j'ai fait un pas en arrière. Je paraissais plus lucide, plus éveillée que je ne le suis today, la veille de mon bac. J'avais pris la position de l'observatrice et telle une vrai flaneuse, je rapportais à ma manière l'histoire de ma vie que je dépeignais avec le plus de sensibilité et d'humour qui m'est accordé. Seulement j'avais honte de la minutie que j'apportais à ces articles en les retravaillant mais comme m'a dit ce nouvel ami: ''c'est en retravaillant l'ébauche de ses textes qu'on permet l'éveil de l'esprit!''(quelquechose comme ça?)Maintenant j'ai perdu toute envie de remplir ce blog, j'ai besoin de fraicheur de renouveau et voilà pourquoi dans quelques semaines, je rédemarrerais un nouveau blog qui affichera un nouveau statut pour moi, une nouvelle histoire et de nouvelles aventures. Je suis ouverte à des propositions pour un nouveau titre!

Une photo de il y a 2ans qui symbolise surement mes tentatives écorchées de rester ancré dans le passé, de saisir l'insaisissable et l'inoubliable.

Je n'ai pas écris depuis des semaines, j'ai perdu l'usage de l'écriture rapide. Je me sens comme une étrangère qui ne sait pas parler la langue du pays qu'elle visite. Ne vous attendez à rien d'exceptionnel avec ce retour soudain. Je ne saurais répondre à vos attentes et rivaliser avec des exploits comme celui de ce moine boudhiste qui a roulé jour et nuit sur plusieurs milliers de kilomètres sans s'interrompre jusqu'au haut d'une montagne où se trouvait un temple ou bien comme celui du dresseur d'éléphant qui s'est fait écrasé sous 4 tonnes de purin d'éléphant(mais cette histoire est sans intéret puisqu'il est mort asphixié). Ce que je vous raconte n'est que pure vérité. J'ai décidé de reprendre mon blog sous le conseil d'un nouvel ami mais sachez qu'il ne lui reste que très peu de jour à vivre(le blog et non mon ami) car ce blog avait comme fonction pour moi (avant tout) de purger mes émotions, de jouer le rôle du cyber journal intime. Et comme n'importe quelle ado, entretenant maigrement son journal intime, j'ai trop délaissé le mien et il a maintenant perdu tout intéret pour moi. Le temps a passé et ce blog ne me reconnaîtra surement plus et je ne reconnaitrais surement plus la personne qui écrivait, il est démodé ce blog. Comme le temps est insaisissable. Il suffit de s'y accomoder quelques instants afin de mieux digérer le moment présent et pouf on ne le voit plus passer. Au moins avec ce blog je faisais le bilan de ma vie et je n'étais pas complétement ébloui par la vitesse de la course du temps. Et pourquoi cette paressse intellectuelle s'est emparée de moi? Parce qu'on m'a arraché de l'écriture, on a violé ma douce intimité, celle que je consacrais à l'écriture et j'ai perdu la tête, aspiré dans un tourbillon de bétises, de désirs et de conquêtes impossibles.
Explosion platonique, caca atomique: quelque mots qui résumeront sauvagement le tumulte intérieur qui joue en moi.

mardi, mai 08, 2007

Chroniques d'une insomniaque...
eh merde jai tout effacé. cétait plutot drole. je manques de sommeil. zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

dimanche, avril 08, 2007

Bon j'ai fini mon jus d'orange.
Je ne manges pas. J'en ai pas envie.
Je vais sur l'ordinateur me faire des amis.
Je réponds à leurs messages, en faisant attention de répondre aux critères.
Je fais un petit tour sur facebook, pour finir de socialiser.
Je regardes mon verre. Vide.
Pourquoi est ce que je fais tout ça?
Je ne vais pas plus loin, , j'en suis incapable ces questions aboutissent nulle part

mercredi, avril 04, 2007

Ah mais qu'est ce que c'est que ça. Aucun commentaire. Indignes personnages de ma vie. Personne n'apprécie mes articles. J'ai pourtant tout essayé: dépravation de ma vie privée, dénonciation insensée, test de signalistation et même dédicace personnalisée. J'ai utilisé toutes les techniques de marketing de blog possible pour m'attirer les foules. Je crois qu'il va falloir que je me sois auto-suffisante et que je mettes des photos érotiques de moi sur ce blog. Mes visites seront l'objet d'une auto-contemplation et serviront à remonter mon estime. AH(dit d'un accent espagnol) comme c'est mal dit. Mais bon comme le disait si bien Virginia Woolf: 'être lu n'est qu'un plaisir superficiel.' Je devrais l'écouter mais je trouve que c'est du caca de boeuf tout ça. Bref, je penses qu'elle n'aurait jamais voulu coucher avec moi, nous avons des vues apparement très opposées sur la gloire et l'estime que l'on peut retirer de l'écriture. Tant pis pour elle.

Je viens de constater que je n'ai pas nourri ce blog depuis bon nombre de jours. Ah douce cruauté, je trouve maintenant un plaisir exquis à torturer ce blog et mes auditeurs inexistants. Il ne me reste plus qu'à lui trouver un nom et lui apprendre à gémir, comme ça quand je le fouetterais il ne saura qu'user de ses cris plaintifs pour protester. Et la je le fouetterais encore... et mais je délire. Cela doit être parce que je n'ai pas eu mes 12 heures de sommeils ce soir, et que je suis finalement retourner à l'école, aprés mon petit congé maladie, pour assister à trois heures d'examen en Histoire des Arts. J'ai 3 tests à rattraper, et le cours d'histoire et de français à reprendre. Ay, me. Roméo le dit surement mieux que moi.



Au fait je me suis trouvé un nouvel amant. Toutefois Nono n'aprouve pas de lui. Ah comme j'aurais voulu garder ce secret pour moi, et comme ça notre amour aurait mieux survécu, et maintenant les vomissures blessantes de Nono vont déteindre sur moi et je ne sais plus quoi faire. J'avais pourtant réussi à me détourner de mon obsession. Elle est manifestemment en train de comploter contre moi. Tantôt elle me dit d'oublier le premier amant, tantôt elle prend une douzaine de photos érotiques de lui, et ces images n'auront possiblement comme effet sur moi que de m'envouter et de me réasorber dans le vortex insatiable du premier amant. Je suis toute fois parvenu à oublier mon premier amant et je peux maintenant consacrer mon temps à imaginer et repeindre comme je le désire, mon nouvel amant. Ah comme j'aurais voulu naître dans une autre époque. Bon, je vous tiens au courant de ma conquête. Voici la photo la plus sensuelle de moi que j'ai pu trouvé. Adios.

lundi, mars 12, 2007

Je vais vous raconter une histoire qui va commencer par "il était une fois" et qui finira par "et ils eurent beaucoup d'enfants".
Il était une fois, une jolie rousse qui rendait la vie des gens autour d'elle misérable. En effet ses fausses allures nous trompaient. Atteinte d'hystérie, hypochandriaque et égocentrique, Noémie(larousse) ne supportait pas qu'on ne fasse attention à elle. Elle était cupide et sans coeur. En effet elle refusait de discuter en cours d'italien avec les prétendants de ces propres amies. Elle ne cessait de divaguer et de spéculer sur ce qui ne la regardait pas. Comme par exemple supposer les origines de la nymphomanie de son amie ou penser que son père lui a manquer d'amour, ça ne la regarde pas(et c'est pas vrai)! Oui elle était mauvaiseee. Certes son sens de l'humour était excellent mais elle faisait passer une méchanceté réelle sous le couvert de l'humour. Il lui arrivait même d'être jalouse des chats, des bébés et tout autres choses adorables qui attendrissent un être humain normal, et cela sous prétexte qu'elle voulait plutôt que ça soit elle qu'on glorifie (can anybody spell SPOOKY?) Son vocabulaire était constitué de deux mots: -nom, ou nom propre- + MEURT-ou-MOURREZ. Exemple: 'Antonin meurt', ou bien 'chaises, mourrez'(toujours utiliser sous la forme d'un ordre). C'était une vielle habitude qu'elle avait garder, qui remontait de son ancienne vie de petite fée. Mais ayant abusé de ses pouvoirs(débauche totale) elle fut destituée et ramenée au poste de "simple mortel". Quelle deception pour elle, mais quel plaie de débarasser! Bref un jour elle fit un voeu. Celui de récupérer ses pouvoirs. Elle parcourut terres et mers pis le 51 et le 165 nord, pour demander cette faveur au gourou solaire, le grand tunahc erriep. Lorsqu'elle arriva, le gourou lui dit qu'afin de récupérer ses pouvoirs il lui fallait vivre une vie juste et sans pêché, et que si elle enfreignait cette simple règle, son visage porterait les conséquences du vis. Depuis elle porte une bague d'améthyste pour s'éloigner de ce qui est ennivrant et elle fait de bon biscuit au spéculose pour tout ses camarades de classes. Certe certain côte sombre rejallisse parfois...mais la petite fée qu'est Noémie n'a plus jamais été mauvaise, seulement exaspérante. Fin. Oh oui et elle a fini par adopter deux chats et tous deux vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
THE END

vendredi, mars 09, 2007

Tonerres et aplaudissements. J'ai, ce soir, réussi à articuler une remarque (au sujet de mon père, et EN sa présence) si tranchante et si bien en contexte qu'il n'a rien trouver à y redire. J'ai jugé important de le noter, compte tenu de mon incapacité totale à me faire comprendre à l'oral en général. Pourquoi suis-je si incompréhensible? C'est comme si il avait un court circuitage entre les idées qui germent dans ma tête et ma bouche. Même ça c'était incompréhensible. Bref je suis sure que le peu de gens qui lisent mon blog, meurent d'envie de savoir ce qui a été dit. Eh bien ça n'a acune importance, et pour cela il faudrait que je vous explique le caractère insupportable de mon père. Mais bon maintenant que j'ai assez fait durer le suspens, je veux bien vous citer la fameuse phrase(mais ceci sans explication additionnelle): "c'est pour ne pas importuner le nez sensible de papa." D'aprés mes calculs une phrase comme ça ne me revient que tous les 10ans, je n'aurais donc pas la chance de sortir la phrase du siècle qui me vaudra un 20 à mon oral de bac blanc. Vous allez vous demandez pourquoi j'y accordes tant d'importance, pourquoi je considères qu'une phrase bien dite représente un exploit pour moi. C'est bien parce que ces quelques mots "me prouvent à moi même que je ne suis pas le dernier des hommes", des femmes, c'est bien ça et qu'avec ces quelques mots, je me rassure que ma "nature littéraire" finira un jour par éclore. J'ai parlé de ce léger problème avec plusieurs personnes: ma mère m'a dit qu'il serait avantageux pour moi de prendre des cours en communication, nonot m'a dit que les gens en général ne comprennent pas ce que j'essaye de leur dire et que ça ne valait pas la peine d'entreprendre une carrière comme l'éducation, là ou justement la communication est l'outil clef, et finalement un ami m'a dit qu'il fallait en rire, plutôt que y revenir sans cesse. Je crois que je vais prendre ce dernier conseil, c'est plus facile et le plus agréable à éxécuter. C'est tout de même dommage que je ne puisses plus rire autant, alors que je m'étais promis que le rire allait me rester. Bref, je crois qu'avec la croissance, les jeunes négligent le rire et finissent par l'oublier pour le reste de leurs vies.
Dodo.
10 raisons pour lesquelles il nous serait avantageux d'avoir ce chat.
1. Il nous débarasserait des souris à la maison. Et vous savez comme leurs présences a augmentés récemment.
2. Les chats récomfortent toujours leurs maitres lorsqu'ils pleurent.
3. Je n'ai pas envie d'avoir a demandé à Mr chanut de garder un animal que j'ai adopté sans la permission de mes parents(noémie la souris).
4. Je suis sur qu'on déjà écrit quelquepart quelquechose comme: "avoir la compagnie d'un animal domestique augmente de façon exponentielle la bonne humeur."
5. J'aurais un nouveau toutou.
6. C'est dou un chat, caresser des trucs doux, ça nous appaisent nous les êtres humains. Le dou, c'est un trésor. Pensez à la soi, au kashmir. Des denrées rares, facilement remplacable par un chat.
7. "Einstein" (c'est comme ça que nous l'avons surnommé) a disons les sens et l'esprit quelque peu décalés. Non seulement la posession d'un chat moins alerte, rend nos journées plus rigolottes, mais sa présence réduirait les heures qu'on passe à regarder la télé (on aurait droit a un spectacle gratuit tous les soirs).
8. Je veux un chat, c'est tout. J'adore ces animaux, ça devrait être assez. Ces oreilles pointus, leurs visages fin et leurs museaux aiguisés. Sans parler de ce petit corp élastique et élancé. Et ça joue un chat, c'est aimable. Ça ne peut que faire du bien.
9. La présence d'un chat me rendrait déjà plus responsable que je ne le suis déjà.
10. Je soupçonnes que Einstein soit en fait mon ex-copain qui se transformes la nuit en chat. Tout l'indique. Il sait où j'habite. Il est excissevement affectueux. Il n'a pas les mêmes réflexes que les autres chats.

Ce blog est un peu comme mon confessoir. Manque de bol ou manque de je ne sais quoi...je ne pratiques aucune religion. Ce terme serait donc inaproprié. Mais qu'importe les règles...j'en connaitrai une qui m'aurait fait la remarque si je n'avais pas noter que confessoir n'était pas à sa place. Putain qu'est ce que je radote...Alors voilà, en ce moment je suis en train d'écouter les miaulements desespérés d'un chaton qui a décidé depuis quelques nuits de se poser devant ma porte et de tester notre hospitalité. Ma soeur et moi avons bien evidémment été incapable de résister au charme invisible de ces petites bêtes félines(notre nature féminine aura raison de nous) et nous l'avons laisser dormir une nuit dans ma chambre. La nuit d'après, à la même heure(vers 11h environ), cette même créature s'est remise à l'ouvrage, et rapidement l'envoutement que peuvent avoir les miaulements d'un chat, à briser mon autorité fragile, et j'ai ré-admis ce chaton dans ma chambre. Je lui versais un petit bol de lait auquel il s'abrevait maintes fois pendant la nuit, puis vers 6 heures du matin, il se mettait à miauler dans ma chambre alors nous le sortions, de peur que mon père l'entende et lui fasse plus de mal qu'à nous, en aprenant que nous avions hébergé un chat pendant la nuit. Mon père ne tient comte que de ses propres intérets, et malgré mes demandes acharnés pour l'adoption d'un chat, celui ci me l'a toujours refusé. Imaginer si il l'apprenait. Et maintenant le chaton s'est posé devant la porte deux heures à l'avance et mon père l'a entendu. Je lui ai interdit de lui faire du mal, mais mon père attend que nous nous couchions pour n'en faire qu'une bouchée. J'espères que je serais plus rapide et que je pourrais le faire rentrer sans bruit. Suffirait juste qu'il soit moins bruyant le matin, et il passerait inaperçu. En attendant, une photo de lui, regardez comme il est adorable, même un peu trop affectueux. Il me réveillait la nuit pour des caresses, et même qu'il se frottait contre mon ordinateur pour se gratter. Il miaule toujours, croisons les doigts, faites qu'il reste jusqu'à 11heures pour que je puisses le faire rentrer.

mardi, mars 06, 2007

Petit test de signalisation: Que signifie ce paneau?
À qui saura le deviner, aura l'éternel admiration de Noémie et de la mienne. N'essayez pas de tricher, c'est un paneau qu'on ne retrouve qu'à Québec!
Ps: Petite anecdote. Hier le 5 mars j'ai appelé à la Saaq pour me prendre un rendez-vous pour le test théorique pour l'obtention de mon permis aprenti. J'ai eu une place pour le lendemain. Vous allez vous dire que je ne l'ai pas prise. Eh bien non! Téméraire que je suis, j'ai passé ce test en m'aidant seulement, la veille, de l'examen en ligne: test tes connaissances(et aussi du vrai test que le copain de ma soeur avait copié en piratant l'ordinateur de la Saaq... mais c'était pas vraiment la même chose, j'étais pas familiarisé avec la machine à bouton). Et je l'ai eu mesdames et messieurs, je l'ai eu! Faut dire que ma soeur m'avait foutu la trouille pour ce test parce qu'elle a du le repasser quatre fois ce test. Mais comme me l'a dit un cher ami à moi: 'faut être pas mal cruche pour pas passer ce test': ce qui est vrai. Suis-je en train d'insinuer que ma soeur est cruche, non... Il me suffit déjà assez de la voir verte de jalousie.
Alors faites le test, question de vous mettre dans l'ambiance de ma journée d'hier en mode 'full absorbtion supersonique du code de la route' tout en accédant a un de nos souvenirs de Québec. Noémie vous racontera l'histoire qui se rattache à ce panneau.

samedi, mars 03, 2007

Contrairement aux discours creux et répétitifs que j'ai pu entretenir avec bon nombre de mes connaissances sur leurs vacances, le récit de ma semaine de relache est beaucoup plus intéressant. Je suis allée à Québec avec la bonne compagnie de Noémie. Nous nous sommes installées dans la plus chaleureuse et adorable auberge de jeunesse que la terre ait porté et que j'ai jamais vu (notez que je n'avais jamais vu d'auberge de jeunesse). Nous avons pu voir toutes sortes de choses comme le vieux Québec et un Allemand nommé Steffen, parlant le FRENCEY, qui nous a fait faire la visite de la petite ville à l'intérieur des remparts. Nous avons aussi vu le musée de la chocolaterie et nous avons eu quelques chocolats gratuits, mais rongée par la culpabilité de ne rien rendre en retour à ces vaillants et généreux québécois chocolatiers, je me suis achetée une jolie carte postale à ce musée. On a surtout visité des musées, dont le musée de l'Amérique Française et le musée de la Civilisation mais surtout le musée des beaux-arts où nous avons pu voir la renommée exposition de Botéro. Noémie vous racontera la visite mémorable de l'exposition sir l'art Québécois. Et j'entend encore la voix abasourdie de ces touristes français qui logaient aussi à l'auberge et qui se sont exclamés : quoi, vous êtes venus voir des musées? Bref ceci est une version racourcie de mon récit. Il aurait pu être extrémèment court ou extrèment long. Nous voilà entre les deux. En attendant voici une photo du chateau Frontenac.

lundi, février 26, 2007

10 choses chez moi qui déplairaient surement un homme.
1. Je mange comme un porc.
2. Je ramasses toutes sortes de choses par terre et il m’arrive parfois de les manger.
3. J’arrive rarement à retenir ma salive, et je postillone beaucoup.
4. Je me rases quatre fois par jour. Je crois que je possède le gêne du loup garou.
5. J’arrive rarement à l‘heure. C’est pas mon genre d’être ponctuelle.
6. J’ai beaucoup de mal à admettre la vérité et de descendre de mon pied d’estal.
7. Chez moi, comme en lieu public, il m’arrive de me gratter la tête avec le pied.
8. Je n’ai aucun talent culinaire. Je serais dans l’incapacité de nourrir nos futurs enfants.
9. Je ma lave que par nécessité, parce que c’est exigé. Si je pouvais, je me laverais 2 fois par semaine.
10. Je suis à court d’inspirtation, et il y a méchant changement à la télé, a+.

dimanche, février 25, 2007

J'ai rien à raconter... Mais où est passé cette vie rocambolesque, pleine de rebondissement, qui m'a toujours aidée à nourrir ce blog? Queqlues dieux bienveillant ont toujours pris la peine de s'acharner sur moi pour me procurer ces quelques anecdotes(­oui oui des anecdotes!). Bientôt je vais me mettre à créer mes propres aventures pour remettre un peu de piquant dans cette vie banale qui est maintenant la mienne. Je pense que je vais juste vous racontez ce qui a pu m'arriver depuis vendredi aprés l'école, tout en suivant un cheminement chronothématique(nouveau mot que j'ai appris par mr chanut, vendredi en test d'histoire). Alors vendredi soir, je n'ai RIEN fait. Je me suis endormie devant la télé... Samedi matin, j'ai été au tournage de notre pièce: breakfast club. Ce fut ma première expérience devant une caméra, en fait non. Il y avait plein d'équipement, c'était impressionnant(on avait même une perchiste). Aprés je suis allée travaillée, toujours aucun sauvetage. Ensuite j'ai voulu aller au cinoche, mais personne n'était disponible. Ce matin j'ai joué avec l'ordi de ma mami. Et ensuite je suis allé voir Roméo et Juliette au cinéma un dollar. Sauf que c'est pas vraiment un dollar, c'est deux dollars l'entrée. Bande de crosseur. D'ailleurs j'ai du traverser un champ abandonné, un chemin de fer et une barrière agrémentée de quelques fils barbelés pour pouvoir arriver au cinéma un dollar, et tout ça pour manquer le début du film, parce que j'avais une Noémie à me trimballer qui ne fait jamais confiance à mon excellent sens de l'orientation. Bref vive les vacances et les moments de prélassement extrème dans son canapé, assis devant la télé. Si seulement j'avais quelqu'un pour partager ces moments MERVEILLEUX.

mercredi, février 21, 2007

AHHHHHHHHH, soulagement extrême, le bac blanc français est passé. Il ne reste plus que le test d'histoire ensuite le test d'espagnol, et... et le bac en math et.... bon le bac enseignement scientifique. Je m'apprétais à relacher ma hurm hurm MUSCULATURE cérébrale, mais je m'abstiendrais jusqu'au vacances. Je tiens à remercier mme Caron pour le sujet qu'elle nous a concocté: c'était intéressant, mais ç'a n'était pas facile non plus. Juste la bonne dose. Sachez que j'ai choisi le sujet d'invention(sarah aussi)! Téméraires que nous sommes, nous nous sommes récitées l'ébauche de nos textes, et nous avons été rassurées de voir que nous avions plus au moins choisi la même voie. Ce qui indique que nous avons surement bien respecter la consigne et que nous ne sommes pas trop égarées. Ou sinon on s'est toutes les deux plantées mais c'est pas si grave. On sait qu'on a pas fait un hors-sujet, et que bon de toute façon si je ne possède pas la capacité de faire un bon sujet d'invention, je saurais que je ne m'aventurerais pas dans de telles conneries la prochaine fois. Voilà. À moi les vacances!

mardi, février 13, 2007

Joyeuse St-Valentin "la gang"(je frissone en entendant la voie perçante de Noémie le crier). Au fait tout à l'heure Noémie et moi sommes allées manger à Subway qui, au fait, se situe (comme par hasard) juste à côté du fleuriste. Par la fenêtre, j'ai pu observer une rafale d'homme souriant et amoureux qui sortait de chez le fleuriste portant des fois une, dix ou même une vingtaine de fleurs. À l'école j'ai vu deux filles qui remplissaient littéralement un casier en entier de fleurs de toutes les couleurs de sorte que lorsque le garçon en question, qui sortait avec l'une fille, ouvrira sa porte, il sera victime d'une diarhée de fleur qui explosera sur lui (remarquez l'utlisation de mon vocabulaire qui en révèle beaucoup sur le jugement que je porte sur ce genre d'attention). À la cafétéria: vente de bisoux. Demain nous verrons une bande de seconde surexcitée par la frénésie de la fête, embrasser les gens, les murs, les plantes, tout ce qui bougent quoi, et ils se seront peint d'un rouge à lèvre rouge aveuglant et visqueux et répugnant. J'ai une sainte horreur du rouge à lèvre. Le rouge me répugne. J'ai grande envie de savoir pourquoi, j'aimerais bien avoir recours à un psychanalyste pour qu'il m'explique ce traumatisme. Dieu seul sait, et quelques autres de mes acolytes sauveteur, comment ça a pu être difficile pour moi, lors de mes cours de sauvetage, d'être aspergé de sang artificiel sur moi. Tout ce qui est ketchup, sang, le rouge en général mais surtout visqueux, tout ça me donne des hauts le coeur. Vraiment! Espérons seulement que météo média aura miraculeusement prévu juste, et que demain matin, jour de la st-valentin, une terrible tempête va s'abbatre sur montréal causant la fermeture de toutes les écoles. Faites que la liste tempête de neige serve et que je reçoive promptement demain matin un appel m'annonçant que l'école a fermé.

jeudi, février 01, 2007

CantaBaud ce soir! Ah mme Robert nous a libéré plus tôt et pendant que les filles occupent complètement la maison, c'est à dire noémie qui fait sa sieste, et sarah qui s'éternise dans la douche, et bien moi je prends un peu de ce temps pour nourrir ce blog délaissé et malnourri. J'ai vraiment honte, ce blog me rappelle ces instants ou je consacrais des pages entière de mon journal et où je faisais des excuses À mon journal et là je lui expliquais quelles circonstances désastreuses m'avaient empéchée de lui écrire, ensuite je rappelais quelle mauvaise personne j'étais de moins m'entretenir avec lui. Finalement je terminais cette lithanie de mes crimes en lui disant combien la honte et la culpabilité m'accablais et je lui promettais que je n'hésiterais pas à m'infliger une bonne dizaine de flagellations avant l'heure du coucher. Bonne nuit bloggers/bloggeuses.

lundi, janvier 15, 2007

Je vis dans la maison de la honte où l'absence d'unité reigne et où blâmer l'autre est notre seule occupation. J'ai l'impression d'avoir reçu la pire éducation qu'il soit et que mes parents devraient être tenues responsable de ce qui est advenu de moi devant le tribunal du P.A.F(parents à foueter). C'est à dire que je suis paresseuse, haineuse, trop sensible, menteuse, toujours en train de me condredire... Mais mme Caron a fait une remarque intéressante en classe aujourd'hui, c'est qu'il y a des germes de ce qu'on adviendra avant même la naissance. Sartre a été façonné par les attentes des autres("l'essence avant l'existence"), j'étais donc prédestinées à devenir la honte ou la "sharmoutah" de la famille? Mes articles sont pas fameux, je l'avoue, j'espère ne pas être une de ces personnes trop sensibles dont l'écrit est affecté lorsque le coeur ne suit pas. Je fais l'ultime promesse sur ce blog et devant boudha, que mes enfants n'entendront jamais l'éclat de ma voix, je n'insulterai JAMAIS mes enfants car il me semble que pour qu'un parent inspire le respect, il faut d'abord en donner. Je n'utliserais jamais mes enfants comme mon soufre-douleur ou comme l'urinoir de mes maux de têtes et je n'entraverais jamais la route de mes enfants vers la chose qui les font vivre. Subtil mon affaire, hein. Tant de promesses qu'il me faut absolument tenir pour ne pas reproduire "l'éducation" qu'ont m'a durement imposée. Alors je promet de tenir mes promesses.

dimanche, janvier 14, 2007

Nono+Lily+Folie Nono voulait absolument créer un skyblog parodiant les autres skyblogs qui apparaissent souvent comme débile et qui traitent strictement de "ma" petite personne de profil gauche et de "ma" petite personne de profil droit et de "ma" petite personne avec mon chien philou( cessez d'utliser l'image des animaux comme prétexte pour vous pavaner). D'ailleurs, noémie vient tout juste de s'en créer un, mais aucune photos n'y figurent, allez voir pour le moment il n'y a qu'un article: www.arrg.skyblog.com Pour ouvrir ce skyblog en beauté, nous avons fait un aprés-midi "séance photo" complétement absurde où des objets ridicule trainaient partout comme ma robe fushia éclatante (que jamais personne n'aura l'occasion de voir, sauf en photo) et un manteau en vraie fausse fourrure. Ces photos sont vraiment terrible je vous préviens. 13 ans et plus, c'est évident. Voici quelques clichés pour vous donner un avant gôut (amer surement) de son futur "fo skyblog".
Nous sommes infestés! Ce matin vers 11h00 donc pas plus tard que tout à l'heure, mon frère a retrouvé derrière son sac à dos, une AUTRE petite souris morte. Et dire que j'ai dormi à côté d'un cadavre tout à l'heure. Qu'est ce qu'elle était grasse et visqueuse. Bref la mort de la seconde petite souris est venu ajouter un peu de piquant à la publication de mon article sur la première mort. Je vais arrétêr de me réjouir de la mort d'une pauvre petite créature, mais quand même vous vous rendez compte de l'ironie des choses?? Une vrai plaie s'est abattu sur la communauté des rongeurs du 4814 rue Dornal: mes dons de voyances vont toutes vous exterminés. Non mais sérieusement j'arrive pas à y croire, ça vient de se passer! Vous êtes chanceux que j'ai pu prendre une photo de la souris et de son bourreau. Mon frère insiste maintenant pour qu'on l'appelle: THE MOUSE SLAYER. humm réjouissant comme surnom.

vendredi, janvier 12, 2007

Sur demande de NONO, l'histoire de la petite souris.
Cet été, nous furent hanter par la présence presque fantomatique de la petite souris. On pouvait entendre les petits claquements de sa machoire la nuit. Elle rongeait les murs, le bois et même les fils électriques. Un jour on la découvrit dans le meuble du salon et on l'enferma mais la petite souris, tellement fine, réussi à escalader les armatures du meuble et s'enfuya. Le grand jour arriva où père et fils, comme tout homme, s'unissent pour veiller au bien de leurs habitats. Comme tous bon chasseur, ceux-ci devaient s'équipper. Ils sortirent et revinrent armé avec de petits pièges. Ils débattérent longuement sur les emplacements stratégiques de leurs leurres. Les appâts placés, et mon unité masculine rassuré, tous se couchèrent. Le lendemain dans la cuisine je trouvais à quelques centimètres de mon pied la petite souris prise au piège par le levier, étouffée par son morceau de fromage. La gourmandise aurait mené à sa fin. Je vous épargne les détails morbides, mais je dois vous confier que mon père venta anplement les emplacements choisis. Rappelons qu'ils servirent de tombeau à la petite créature. Repose en paix, petite souris. À qui voudrait poser des fleurs sur sa pierre, vienne dans mon jardin aux heures d'ouverture.

vendredi, janvier 05, 2007

La cécité ne rime pas avec aveugle
-Pimbèche, Blanche-Scéne 3
Pimbèche: Blanche comment te dire... Ma tendre amie, ma confidante qui parle je ne sais quelle langue, ah l'urinoir de tous mes péchés! Écoute-moi et ne me renie pas. J'ai failli céder à la plus vile des profanations. J'ai failli me livrer toute entière...comme on livre son mouton à l'abattoir.
Blanche: DAH!
Pimbèche: Oui je sais c'est atroce, je n'aurais jamais du. Mais avant d'avoir pu, j'ai découvert quelquechose qui fera mon malheur à jamais. Enfin passons sur ce détail. Mais je dois avouer devant toi et devant l''inpénétrable voix céleste que les avances qui m'ont été faites ne m'ont pas toujours déplu. AH je sens que je vais sombrer dans des ténébres ou même les pires dictateurs ne reposent pas. HEIL! Que faire avec un amant qui ne pourra jamais satisfaire mes besoins mais que j'aime tendrement?
Blanche: DAH? maa kass ke tou raconté, tu lames?
Pimbeche: oui, bien sur que je l'aime.
Blanche: dash kou bri ta kos! Eh bien! kattenn tou, prend toi de lui, et faites ce que même les animaux non jamais pensé faire! Pourkwa as tu ne pas voulu livrer ton mouton a labattoir?
Pimbeche: Eh bien j'ai ommis de ta dira KAKCHOSE. Oh pardonne mon instabilité, c'est que je suis nerveuse, et des fois on est tenté de reproduire ce que l'oreille décode mal.
Blanche: Ja suis touté oreille!
Pimbeche: Eh bien promet moi de ne jamais répéter ce que je m'apprètes à te réveler, tendre amie. Voilà mon coeur est à un homme qui ne saura combler ma forêt enchanté. Tu vois??
Blanche: Dah?
Pimbeche: oh bon, euh je ne pourrais pas vraiment me livrer parce que...castré a naturellement, ce qu'on a enlevé a un eunuque. Tu vois?
Blanche: Dah? Quelle nuque??
Pimbeche: Nom de dieu Blanche, CASTRÉ EST CASTRÉ. (Elle se met à pleurer)
Blanche: Tou ba aller bien, laisse moi te chanter une berceuse de mon pays: Schlikebi schlikebi schlikebi schlaven, dash kou mi tabi naven! EH mish ta bri kubrick y schalkobin ta mi naven...

mercredi, janvier 03, 2007

(Partie 2) J'accoure bébé, j'accoure et je la borde et je lui fais boire son lait tout
en repassant tous mes cours de sauvetage dans ma tête (au cas où) mais les pleurs ne veulent pas cesser, alors j'appelle les parents et mme Caron, "déchirée par les pleurs de sa fille" revient halletante. Le lien qui unit une mère et son enfant est plus fort que tout puisque dés l'arrivée de maman Caron la petite s'est tout de suite calmée. Quelques minutes plus tard, on se rend compte que la petite, toute tremblottante et contracté qu'elle était, avait malencontreusement bu le lait de sa soeur, un lait trop riche et qu'elle digerait mal. Et devinez à cause de qui? Eh oui ce malencontreux geste venait de moi, et peut être aussi de mon mauvais Karma, petit bébé j'espère seulement que des vomissements incessants n'ont pas suivi aprés mon départ! Bref la petite a fini par se rendormir, et aprés une partie de lapin crétin sur la wii, mme caron repart rassurée à sa soirée avant le décomte. La bonne année passe, je vais vérifier leur respiration, tout va bien. Bref le reste de la soirée se passa assez bien, j'ai pu jouer a la wii mais toujours un peu inquiète qu'une des filles se réveillent, je regardais d'un air nevrosé le machin qui retransmet tout les sons de leurs chambres. J'ai même cru qu'il y avait un intru dans la maison à un certain moment mais c'était les petits pas de Iris, l'ainée, qui se réveilla pleurant sa maman. Alors je la borde, je la console et lui ramène un receuil de conte que j'avais ramassé chez moi. J'ouvre le livre et en première page se trouvait "la belle histoire de blanche neige" Quelle chance! Je me rappelais alors que la petite adore ce conte. Mais en lui lisant l'histoire je me suis rendu comte que ca n'était pas vraiment une histoire pour enfant mais bien un conte à l'envers. On retrouvait des mots dangereux pour l'oreille d'une petite fille. Des mots comme "sexe" et "exterminer". Me pardonnerez-vous un jour mme caron. L'histoire elle même était tellement ennuyante pour un enfant que la pitite s'endormit aussitôt! Efficace ces bouquins.
La soirée se passa très calmement et je repartais attristée d'avoir presque empoisonné une des filles de mme Caron et de ne pas avoir pu trouver un moyen de récupérer le tire boulette en trouvant la canne à pêche pour donner un poisson au chat pour ensuite remmettre l'animal au vendeur de brocante afin qu'il soit recomforté et qu'il me donne ma première arme. Zelda, ça n'est pas du tout facile.

lundi, janvier 01, 2007

Babysitting catastrophique chez Mme Caron (Partie 1)
J'ai un mauvais karma, c'est sur! Pas un mauvais, mais un karma qui provoque cette suite si connue d'événements malchanceux. Ça existe çà? Bref tout le monde meure d'envie de savoir qu'est ce qui a pu arriver chez la mystérieuse mademoiselle C. Alors comme un appel reçu de Dieu, mme Caron m'a offert l'opportunité de ne pas rester à glander chez moi, en m'endormant devant la télé avant le décomte, ou de ne pas avoir à suivre en douce ma soeur et lui faire du chantage par la suite. L'offre était bien sur de garder ses deux filles angéliques. Dans le métro j'avais l'impression d'être plus fière de ma destination que quiconque dans le wagon. Alors la soirée s'annonce bien dés mon arrivée: les filles sont couchées, pas besoin de s'inquiéter, elles sont épuisées, impossible qu'elles ne se réveillent, ça sera une soirée facile blablabla. Alors vite on m'explique le fonctionnement de la télé, et de la wii, et on me montre ou sont les biberons, lequel va à qui. Hop déja parti, je me promène, je regarde l'heure, je vais voir les filles, je regardes quelques livres et finalement, le moment tant envié, tant attendu, je m'installe devant la wii. Mais soudainnement j'entend petit bébé daphné qui explose en pleur avant même que j'ai pu comprendre comment fonctionne la console...