mercredi, novembre 22, 2006

Ma propre pièce de théatre...LA CÉCITÉ N'EST PAS SYNONYME D'AVEUGLE.
J'ai décidé d'entreprendre une carriére de scénariste théatrale. Mais manque de ressource et de savoir, malgré mon indéniable génie, j'ai décidé de faire des petites rubriques toujours inspirées de scénes de la vie de tous les jours.
PERSONNAGES: PIMBÊCHE: Jeune fille issue d'une famille simple et naïve et dotée de trés peu de vocabulaire. Amante de castré.
CASTRÉ: Amant de de pimbêche
SEANA-PAUL: Desillusionné par sa passion, il rêve de devenir cuisinier pour chat. Ex-amant de Blanche
BLANCHE: Nouvelle venue, intriguante et surement lesbienne. Ex-amante de Seana-Paul
La scène a lieu dans un restaurant, les 4 personnages prennent le brunch emsemble.
Seana-Paul: Et comme celui-ci ne pu répondre, je dus appeler Blanche pour qu'elle m'aide avec mon article en Finlandais.
Blanche: DA!
Castré:Elle est bonne oui, mais l'enseignante Dieu est toujours en train de la démolir en classe.
Pimbêche: HA HA HA
Castré: Avec ses remarques on ne peu plus tranchantes qu'elle lui envoit. BIM BOUM BAM.
Pimbêche: HA HA HA
Castré:Bam bam!
Pimbêche: HAHAHA, elle ne t'aime pas seulement parce que tu ne sais pas écrire, et que tu n'as jamais lu un de ses livres.
Un peu plus tard...
Seana-Paul: Voyons j'ai de très bonnes notes, je pourrais très bien aller à l'école supérieur, seulement je n'en ai pas envie. Ma passion c'est de confectionner de la nourriture 5étoiles pour ces petits chats attendrissant.
(soudainement pimbêche se met à racler très fort de la gorge)
Castré: Chérie, parle-moi
Pimbêche: Hum HUM
Castré: ah tout va bien, elle parle
Blanche: non je crois qu'elle s'est étouffée sur son bout de saucisson mariné dans le vinaigre et la sauce de cornichon.
Castré: Non! je crois que c'étais au poivre et au lait de chèvre avec un léger soupçon de piment à l'ail.
Pimbêche: huuughhhh hughhhhhh
Seana-Paul: Sottise! C'était un saucisson trempé dans une sauce de mon invention et dont la recette est secrète jusqu'à ce jour!
(Pimbêche ne parle plus, et les mains autour du cou elle fait le signe qu'elle ne peut plus respirer)
Castré: Oh! que faire? Je crains que nous ne puissions plus l'aider.
Seana-Paul: ÉCARTEZ-VOUS! Je me souviens de mes cours de gardien averti et de la méthode HEIMLICH. Pimbêche levez vous! Quoi? Que dites vous là? Voyons faites un effort, je sais que vous en connaissez peu sur la langue mais... quoi?
Castré: Vite elle risque de mourir!
(Pimbêche vire du rouge au bleu au vert au jaune enfin à une légére tinte d'indigo pâle)
Blanche: Diable on dirait le 4e teletubbies!
À SUIVRE...

mardi, novembre 21, 2006


Horrible femme, non voyons je me surestimes, adolescente épuisé que je suis, ah si épuisé que je réutilises les phrases de mes amis! Je ne trouve plus de temps pour écrire dû au taux excessif de travail qu'il nous est ordonné de faire! Et maintenant que le site de la L est sur le site de CMF, et toute la communauté CMF aura accés à mon site et bientôt le monde entier, tous les profs pourront voir comme je suis exténuée. Doux est l'appel de mon lit et lourd est la honte de n'avoir rien écris. Je peux vous raconter mon évaluation en E.P.S(éducation physique, pour mes visiteurs japonais, konichewa). Figurez-vous que ça c'est très mal passé. C'est partiellement ma faute parce que j'avais annulé une de nos dernières pratiques, mais bon Noémie a extrapoler sur la chose ce qui fait qu'elle ne m'adresse plus la parole, mais c'est pas si mal, elle me regarde une fois de temps en temps! Bref je m'éloigne du sujet, alors je me lève le matin malade, et l'estomac vidé(les enfants de mme caron ont du me contaminé), et je me suis retrouver contrainte à faire ma chorégraphie. Il faut bruler cette prof. Bref c'était la cata, déjà nous n'avions préparé que 30 sec, sur les 2min que nous devions faire. On s'est mises à improviser en fin de présentation et je me rendais compte, en faisant les gestes sans enthousiasme, que ma robe était à moitié baissé et que on avait pu percevoir pendant quelques instant une de mes mamelles. J'éspères qu'elle sera clémente et que sa caméra n'aura pas filmé cette exhibition frolant l'impudeur. Adieu, l'appel du lit est trop fort!

mercredi, novembre 15, 2006

Sortie a quebec: on forme une bonne classe quand meme.

BAL 2006, je sais pas, j'ai trouvé cette photo, elle m'a paru sympa. On s'est bien amusé, meme si on a fini dans un parc...

samedi, novembre 11, 2006

VENDREDI SOIR, le 10 novembre 2006.
Il doit être inscrit dans mes génes que je ne sais pas faire la fête, je suis donc destinée à rester cloitrés chez moi et regarder la télé. Aprés notre séance de piscine, Noémie et moi, accompagnées de Léa, sommes parties à cette soirée plus que douteuse au HOLIDAY INN, l'hotel le plus louche de tout Montréal. Même le controleur au métro, cherchant le nom de la rue sur une carte, nous avertissit que l'hotel était miteux(bon signe). Nous sommes venues, nous avons vues et nous somme reparties et VITE. C'était une espèce de salle miteuse remplis d'adolescents en chaleur, trébuchant sur leurs talons et en état de fausse ébriété, ah l'horreur horrifié. En sortant de l'hotel, notre groupe s'était elargi à 6 personnes: soit Jose, Julien et Yacine s'étaient ajoutés à la somme, et nous repartîmes vers d'autres aventures, tous un peu découragés de notre absence de projection et de notre manque de contact réel avec des gens cool. Je fais l'ultime promesse qu'à l'avenir je ne sortirais qu'avec un objectif posé et une vrai destination. Bref, donc nous déambulions sur la rue Sherbrooke lorsque nous fimes la subite rencontre d'une bande d'énergumènes se disputant. La bagarre semblait chaude, oh oui le danger et l'excitation de la scène interpelait les garçons à un tel point qu'ils ne purent s'empêcher de gonfler le torse et mettre leur grain de sel. On voyait dans les yeux de Yacine et Jose une soif inassouvissable de bagarre et de mouvement, Julien était trop heureux de pouvoir caresser nos cheveux pour s'occuper de la bagarre. Je vous raconte la scène: deux camps, d'abord à droite, orginaire de Toronto, deux garçons et deux filles de notre âge, et les deux jeunes filles semblaient plus excitées et enragées à l'idée de se battre, en effet la situation était complétement inhabituel, les deux garçons torontois empêchaient les filles de se battrent; allez applaudissez-les très fort. De l'autre côté, un homme un peu plus agé, originaire de notre belle ville(nous ne créeons que des monstres), complétement déconnecté de la réalité, et j'ai compté plusieurs fois il devait lui manqué une dent ou deux. D'aprés ce que j'ai pu entendre l'ogre avait frappé une des jeunes filles et c'est la que nous arrivions. Ce fut Jose qui fit la première remarque, et dans l'excitation de la scène on put entendre quelques insultes en espanoll. Puis ce fut au tour de Yacine de brandir le stylo pointeur de son père(vous savez ceux qui s'étirent comme un antenne radio) en l'agitant dangeureusement, d'un regard menacant à l'ennemi. Bref il y eu des coups de stylo par ci, des cigarettes qui s'envolait par la. Les trois super nanas que nous sommes nous tenions à l'écart et pendant que Léa sirottait une canette de bière trouvé fermée par terre(avec un sourire qui en révélait beaucoup sur l'usage qu'elle accorde à l'alcool), Noémie frissonnait de peur à la vue du danger mais quelle exaltation dans le péril, délire ultime, oh oui IVRESSE ET FRÉNÉSIE SCINTILLAIENT DE SES PETIT YEUX. Les garçons même après la fuite du monstre sans dents, et aprés avoir longuement discutés des causes et des effets de la scène, les garçons ventaient leurs exploits et souhaitaient, que dis-je, priaient dieu qu'il leur envoya une autre opportunité. Avant notre départ vers ce bar aussi déplorable que les toilettes putride du resto grec sur queen mary, un des jeunes hommes, m'offrient en guise de gratitude une autre canette de bière, ah douce sont les valeurs des torontois, et en marchant je me questionnais sur l'absence de cette coutume à montréal. Bref la soirée qui finit pas si mal que ça, Léa et moi repartirent avec le titre de chapionne à la table de billard(guérissez-moi) et malgré l'ébriété de nos adversaires nous en retirons une satisfaction absolue, Léa et moi nous nous sommes partagés la bière la plus infecte à l'arrêt de bus et je suis rentré chez moi, prendre quelques heures de sommeil avant de me présenter au travail, pâle et livide et sans aucun souvenir glorieux.

Cette semaine une panoplie de signes m'ont été envoyés par je ne sais quelle force divine. Je dis cela car non seulement me faut-il raconter ce phénomène de malchance mais il me faut rester fidèle au titre de mon blog. Tout à commencer Lundi avec Léa et Noémie, sur notre problème de chorégraphie. On s'est disputés pendant une heure(soit le temps qu'ils nous étaient aloués) et j'ai fini par découvrir que la chorégraphie était pour la semaine d'aprés, alors notre dispute/pratique enflammée dans mon salon n'aura servie à rien. Au fait essayez de vous placer à métro et mettez vous à discutez de tout et de rien entre les sacs de farine et les guimauves, voyez la réaction des gens. Mardi à breakfast club j'ai reconnu les signes d'un futur spectacle s'engouffrant dans l'abîme de l'inexpérience et de la non-organistion(digne de HAIR), et venant à cette conclusion, un son terrible à faire exploser nos tympans rententit dans l'auditorium, on aurait dit un micro qui tombait puis une le son d'une alarme de feu(triplé). Bref la console nous a laché et les machines ne font qu'appuyer et s'unir à ma malchance. Mercredi, c'était le BAC BLANC, je veux pas en parler. Jeudi approche: fatigue absolu, ne mélangez pas travail, boulot et café emsemble, vous aurez une réaction explosive suivi d'une baisse drastique d'énergie. Aussi j'ai subis une perte soudaine de mon abilité au billard, quelle déception! Vendredi fut marqué par une dispute à la cafétéria avec les deux seules représentants de la gente masculine de ma classe. Et en m'écriant en plein cours d'histoire que je n'avais pas rendu mon d.m, j'ai blamé antonin parce que je m'étais enlevé ce soucis de la tête en demandant à Antonin de me le rappeler mais j'avais pas à te remettre ce soucis(désolée!), seulement j'ai peur de ce que Mr.Rivet dira... Doucement je sentais que tous les reproches pesaient sur moi.
Heureusement j'allais après l'école donné mes cours à mes jeunes nageurs et j'instaurais un peu de mon savoir aux enfants qui n'auront jamais à découvrir quel nuisance je peux devenir, ce ne sera que gratitude ou inobéissance qu'il me feront parvenir: dans les deux cas je suis en position de pouvoir et cette pensée me rassure. Puis aprés avoir donné un petit cour de natation à Noémie, nous partimes en compagnie de Lea vers la fête au centre ville dans l'hôtel le plus miteux de Sherbrooke. Bref, je raconterais mon vendredi soir plus en détail, ça vaut la peine. Aprés être rentrés vendredi(enfin samedi)vers 3 heures du matin je me réveillais quatres heures plus tard, pour aller au boulot, non je ne suis pas arriver en retard et non je n'ai pas eu de sauvetage à faire(fiouf), mais aprés que mon ami m'annonça qu'il ne pouvait me voir ce soir, j'acceptais un lift de la part de mon cher boss/charles, et sur la route nous sommes rentrés en collision avec deux piétons. Ce fût la goute en trop. Nous sortimes de la voiture, les deux personnes allaient bien, quoique la jeune fille voulu tout de même se rendre à une clinique. Et la j'ai honte de continuer à me plaindre après l'accident mais mes soucis n'ont pas finis là. Je rentres chez moi, et mes parents me bombarde de reproches à cause de ma virée nocturne de vendredi(maudit sois-tu billard)Quelques instants plus tard, c'est ma soeur au téléphone qui participe sans le savoir au hurlement en me reprochant de ne pas avoir rendu le film. J'avais oublié, oui huit jour ça fait beaucoup. Alors je me rends tout de suite au videoself, et le propriétaire(et la Noémie me reprochera de dire ça) un espèce d'immam musulman avec sa bonne femme et son fils incompétent, qui me fit la leçon et me donna une amende de 15,18$.
La météo n'a pas faciliter les choses ni mon état émotionnel.

jeudi, novembre 02, 2006


Le bowling, c’est à chier.

Excusez mon langage vulgaire, mais je n’arrive pas à exprimer mon désarroi autrement.

Eh oui, je me suis découvert un talent particulier a la fête de Lucy, celui de n’avoir jamais pu faire tomber une seule quille. Je m’imaginais victorieuse et applaudie par tous les L a mon arrivée au bowling, et ce fut tout le contraire, même après les conseils laborieux d’élise, je ne parvenais toujours pas a maintenir cette foutu balle sur le droit chemin. Une fois que je rentrais sur piste, mes chers camarades ne voyaient comme seul autre solution que de m’encourager pour m’empêcher de sombrer dans un désespoir absolu. Quelle déception! Je sortis de la place persuade qu’on avait monte un coup contre moi, le Chanut solaire est derrière tout ca, n’essayez pas de men dissuader.

Le 31 octobre 2006, je partais en compagnie de Léa et Nono a la conquête, comme plusieurs autres enfants (nous ne sommes plus des enfants...), des maisons de nos quartiers en espérant convaincre les donneurs que nous méritions une maigre portion de bonbons. Ma mère, lors de notre déménagement avait donne tous nos déguisements au village des valeurs, je me retrouvais donc sans accessoires et sans costumes (adieu tenue de sorcière portée 6 halloween de suite!) alors avec mon chapeau de sorcière, acheté a JEAN COUTU, et quelques bonbons volées en poche, les filles déguisées en geisha et moi entamions la lente ascension de la rue victoria. Quelques maisons plus tard avec Léa qui ne supportait plus le voyage et qui supplia qu’on sarrète, et Nono qui essayait de nous faire revivre la joie de halloween, je me rendais compte que cette soirée (sous la pluie et le vent) serait de toute beauté. Premier stop, la maison d’Alexia, puis après avoir enduré les insupportable cris aigue de Nono, et les plaintes de Léa, nous finassâmes par nous rendre chez Hugo (chez Ariane en fait), qui avait préparé une animation hors du commun. Déguisé en Caesar, et avec une musique de fond passionné, dont je ne connais pas le nom mais qui inspirait respect et admiration a tous les enfants qui lui réclamaient de bonbons, nous nous approchions de ce personnage, et en nous inclinant, comme l’ordonna le grand Jules Caesar, nous finirent par obtenir de sa bonne grâce, UN seul bonbon chacune. Quelle ingrat ce Hugo. En fin de soirée, nous allâmes nous réchauffer et manger un bon diner chez Nono. Voulant ensuite passee le reste de la soirée chez Charles, j’appelais mes parents en espérant qu’ils acceptent mon humble demande, celle daller a la soirée. Alors que j avais a peine fini ma phrase, ma suprême unité parentale réclama qu’après mon diner ils vinrent me chercher a la demeure de nono. Un peu triste mais pas surprise, je raccrochais et j’annonçais la nouvelle. Plus tard dans la voiture, la fatidique dispute avec ma mère enclenché, je tentais de lui expliquer le plus calmement possible, qu’un malentendu avait du survenir au téléphone. Nous finirent par trouver un terrain d ententes et je pus aller a la soirée. Ma mère sortis de la voiture pendant un instant, et sans le savoir je me mis à verser plusieurs larmes en m imaginant qu’adviendrait de la vie si ma mère décédait a l’instant. J’imaginais un cambrioleur dans le dépanneur, et importe quels autres scenarios dramatiques. Sors vite maman... Je n ai toujours pas compris la nature de cette réaction, et à vrai dire, je n ai pas beaucoup cherche, quoi qu’il en soit, je crois que si je n’avais pas verse ses larmes, je ne me serais pas considéré comme une personne normal, mais plutôt comme une personne étrangère de ses émotions. Peut-être le suis-je encore un peu, jobeis aux emotions sans jamais les comprendre.